À partir de lundi, les voyages non essentiels au sein de l’Union européenne seront toujours autorisés, bien que toujours déprimants. Aussi, bien sûr, soyez conscient des restrictions qui sont imposées dans les pays que vous envisagez de visiter. Alors, pour être informé, une solution est de se tourner vers les agences de voyages.
L’occasion pour Anne-Sophie Bruyndonckx, à Matin Première, de refléter la secrétaire générale du Syndicat professionnel des agents de voyages, Anne-Sophie Snyers.
Les téléphones sont généralement chauds, note-t-elle, mais « surtout pour se poser beaucoup de questions car il y a encore une grande incertitude sur les destinations vers lesquelles nous pouvons aller ». L’important est de se renseigner auprès d’un professionnel, a-t-il ajouté, « pour savoir quelles destinations sont ouvertes aujourd’hui pour nous Belgique, car la destination peut être rouge. La plupart du monde et l’Europe sont rouges, mais ce sont alors les pays qui le font. ne pas nous accepter, il est donc important de savoir où nous pouvons aller aujourd’hui.
Où voyager et à quelles conditions ?
La première préoccupation des clients explique Anne-Sophie Snyers, « c’est de savoir où on peut voyager. Concernant les pays rouges, je pense que le Premier ministre est clair à ce niveau, les bons pays rouges, mais les tests sont au jour 1, jour 7 et mise en quarantaine au retour « .
Et puis la deuxième question concerne les assurances. Là, a-t-il poursuivi, le Premier ministre n’était pas clair. « Levée de l’interdiction de voyager en Europe … D’après ce que je comprends et ce que beaucoup de gens comprennent, nous pourrions aussi nous rendre dans des pays hors d’Europe, qui sont rouges, le reste de l’Europe étant classé comme rouge par l’Europe., Mais avec quarantaine et tests obligatoires à votre retour.
Et les assurances ?
Une question en tout cas toujours cyclique, est: « Suis-je assuré si je vais dans un pays rouge, et si je vais dans un pays rouge hors d’Europe? Nous avons interrogé quelques assureurs Nous ne les avons pas tous., nous le ferons cette semaine, mais il semble que si le pays nous accepte, même s’il est rouge, l’assurance annulation et l’aide fonctionnent, ce qui est un très gros point ».
Si longue attente… Et concurrence déloyale
L’industrie du voyage a longtemps attendu cette interdiction de voyager non indispensable: «nous l’attendions depuis longtemps car nous nous rendions compte que la Belgique était une île d’Europe centrale, et que les pays n’étaient pas d’autres Européens, alors imposez cette interdiction du 27 janvier comme nous l’avons fait « .
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Et Anne Sophie Snyers souligne que nous devons endurer «la concurrence déloyale des pays étrangers – je parle de l’Allemagne ou de la France. Il ne reste plus beaucoup de monde, mais certains sont encore partis et ont utilisé des aéroports étrangers.
Quoi qu’il en soit, notre conviction est que le comportement est bien plus important que là où vous êtes! «
Etat de santé du secteur
Le secteur ne va pas encore bien Anne-Sophie Snyers. « Cela fait un an que nous n’avons rien vendu et vous savez que lorsque nous vendons, nous gagnons de l’argent, lorsque les clients rentrent chez nous, nous gagnons enfin notre commission sur les partenaires avec lesquels nous travaillons. »
Pas de vente, mais une obligation légale de rester ouvert, « d’assister et de passer une commande et de passer une nouvelle commande, etc. Nous avons donc toujours 20 à 30% de notre personnel qui travaille sans aucune aide. beaucoup de demandes d’aide, mais vous savez que le soutien que nous avons reçu est assez inégal entre les régions et c’est un gros problème, mais nous n’abandonnons pas et nous voulons continuer à travailler « .
Le pool de «bons» qui sera mis en place représente un espoir dans le cadre de la reprise.
Plan Exit
Avant même le dernier comité de concert, le secteur avait proposé son propre plan de sortie de secours, appelé plan de sortie, qui a été mené en concertation avec l’Association néerlandophone des voyagistes, qui appelle à des mesures.
«Nous avons été entendus», note Anne-Sophie Snyers de manière satisfaisante, «parce que le commissariat de Corona et d’autres sociétés se sont réunis et nous ont appelés, mais aussi les transporteurs et les principaux voyagistes de Belgique, pour venir de trouver et définir un plan de sortie, les opérateurs ont offert ce qu’ils appellent des couloirs de voyage sûrs, de sorte que l’une ou l’autre destination où nous pouvons aller, qui est dans les pays rouges, et nous pouvons y revenir sans quarantaine ».
Mais il y a encore de nombreuses questions, telles que: si vous êtes vacciné, pouvez-vous encore voyager? Devrions-nous mettre en quarantaine si nous revenons d’un pays rouge lorsque nous sommes vaccinés? Pouvons-nous utiliser des tests rapides? Et pour citer l’exemple de l’Espagne, qui « accepterait une Belgique qui aurait un test rapide, mais le gouvernement belge n’en parle pas. Ce sont toutes des mesures concrètes et nous cherchons des solutions ».